Juste après leur séparation, Alain Delon et Romy Schneider se joignent au tournage de La Piscine. C’est grâce à sa présence dans ce tournage que Romy Schneider a tombé sous le charme de Fabio Caro.

Les révélations de Fabrice Caro


Ces anecdotes, Fabrice Caro ne l’avait jamais raconté. Au tout début de son manuscrit diffusé dans Libération, Fabrice Caro a adressé un petit message à Alain Delon. « Avant toute chose, j’espère de tout cœur qu’Alain Delon ne lit pas Libé », exprime-t-il avant de commencer sa déclaration. Tout de suite après, il parle de l’amour secret qu’il a vécu avec Romy Schneider. Effectivement, ils se sont rencontrés lors du tournage de La Piscine, à l’été 68. Ainsi, c’est la première fois que Fabrice Caro croise le regard de Romy Shneider. Le coup de foudre était présent sauf qu’il ne voulait pas tourmenter Alain Delon. En effet, Alain Delon a vécu une idylle avec Romy Schneider quelques années auparavant.

« Je voyais bien que Delon n’aimait pas beaucoup la complicité qui nous unissait, Romy et moi. Chaque fois qu’il surprenait un regard échangé entre nous, je sentais la lame de ses yeux bleus me transpercer de part en part, avant de la transpercer elle », affirme Fabrice Caro. Des confidences inédites et étonnantes, qui ne seraient pas au gout du grand acteur français.

Le grand message adressé à Alain Delon


En profitant d’une petite pause, Romy Schneider demande à Fabrice Caro de lui appliquer de la crème solaire.

« J’avais senti ses reins se cambrer, elle s’était alors redressée, avait approché son visage du mien, son souffle chaud sur moi, ses yeux bleus plantés dans les miens, sa main caressant mon cou, et nos lèvres s’étaient rapprochées, effleurées (…) », relate l’auteur. Un moment exceptionnel interrompu par Jane Birkin, qui ne racontera à personne l’évènement. De plus, Fabrice Caro a rajouté : « Alain, si vous me lisez, j’espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de ces révélations somme toute bien innocentes ». Puis, il conclut par : « Je peux vous assurer que c’est vous qu’elle aimait, d’une passion folle, même si, durant un quart de seconde, je l’ai sentie chavirer et qui sait ce qui se serait passé si Jane n’avait pas débarqué à ce moment-là ».