Lors des funérailles de la reine Elizabeth II, des évènements inattendus se sont produits. Tenues le lundi 19 septembre dernier, les obsèques de la reine ont fait écho partout dans le monde entier. Tous les chefs d’État, excepté celui de la Russie, ont été conviés à cette cérémonie d’adieux de la reine. Arrivé sur place, Emmanuel Macron aurait refusé de prendre le bus pour se rendre aux funérailles. De leur côté, Charlène et Albert de Monaco ont décidé de prendre ce bus, coûte que coûte.

Elizabeth II : une mort tragique qui touche le monde entier !

La nouvelle concernant la mort de la reine a eu l’effet d’une véritable bombe atomique qui a touché la planète tout entière. Pendant 70 belles et longues années, Elizabeth II a régné avec sagesse et compassion sur le Royaume-Uni. Mais après 96 ans d’existence, cette dernière a rendu son dernier souffle, au grand regret de la famille royale.

C’était dans sa demeure de Balmoral, un château en Écosse, que la régente a succombé, devant le regard impuissant de son fils le prince Charles, et de son petit-fils le prince William. La reine Elizabeth II laisse derrière elle une famille, ainsi que des millions de sujets en larme et endeuillés. Pour ses obsèques, le plus grand monarque de tous les temps a eu droit à une belle cérémonie de funérailles. Et ce, accompagnée toutefois de quelques ennuis avec les invités.

Funérailles de la reine Elizabeth II : des chefs d’État venus du monde entier pour lui rendre un ultime hommage !

Pour les funérailles, il était évident que les présidents du reste du monde entier allaient venir rendre un dernier hommage à la reine. À l’exception de Vladimir Poutine qui n’est pas vraiment en bon terme avec le reste du monde, tous les présidents et chefs d’État étaient présents. Et bien évidemment, le Prince Albert II et Charlène de Monaco ont aussi répondu présents.

Mais pour l’organisation lors des funérailles, l’Angleterre a eu quelques choix compliqués à faire. En effet, il devait bien avoir des invités qui auraient leur mot à dire. En effet, ce fut le cas pour Emmanuel Macron. Alors que des bus ont été mis à la disposition des chefs d’État pour se déplacer en groupe, le président français a refusé de les prendre. Quant à Albert et Charlène de Monaco, ils ont affirmé que cette envie de vouloir préserver l’environnement les avait séduits.