Une interview acceptée au Parisien au bon moment de la rentrée. Le PDG de la chaîne TF1 revient sur le sujet concernant l’affaire de Christian Quesada

Chrisitian Quesada : les maîtres de 12 coups de midi se sont réunis dans le prime time de Xavier.


Mais l’un de ces champions que les spectateurs apprécient beaucoup est absent. C’est évident, il s’agit de Christian Quesada. Christian Quesada. Son nom n’est plus inconnu au sein de l’émission. Pendant l’interview, Gilles Pélisson le PDG de la chaine TF1 revient sur l’affaire de l’ancien champion des 12 Coups de midi. Pour Gille Pélisson, Christian Quesada les a totalement affectés et le grand animateur Jean-Luc Reichmann en première liste.

 

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C’est ce qu’il a dit en continuant qu’il ont le sentiment d’avoir été trompé. Car c’est vraiment nécessaire, pendant le casting les producteurs. Le PDG essaie de conclure avec un souhait de trouver quelque chose de positif. Rappelons un peu qu’au plein milieu de son parcours, Christian Quesada est arrêté pour des actes illégaux qu’il a commis. Détention d’images et vidéos pornographiques et corruption des mineurs. Depuis que l’affaire a éclaté en mars 2019, le père de la famille est déjà en détention.

Mais concernant cette affaire, que se passe t-il ? Pourquoi un changement d’avocat alors que sa détention reste provisoire ?


Le 27 mars dernier, Chrisitian Quesada est placé dans la détention provisoire pour la possession d’images pédopornographiques. L’ex champion avait changé d’avocat, d’après une information fuitée de l’équipe de d’H2O Productions. On peut dire qu’il essaie de préparer sa défense à la vue de son procès l’année dernière. Le 14 novembre prochain, la chaîne C8 diffusera un reportage sur l’affaire de Christian Quesada. Il sera intitulé les révélations du champion déchu.

Pour rappel, Christian Quesada pourrait avoir une amende de 100 000 euros. Ainsi qu’une peine de sept ans de prison pour la possession des images et vidéos pédopornographique . Et pour la corruption de mineures, il pourrait avoir cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende.