Depuis qu’Emmanuel Macron a accédé au pouvoir en 2017, il se fait critiquer de toute part pour de nombreuses raisons. Lors de son entrée dans le monde politique, le mari de Brigitte Macron a attiré autour de lui de vraies polémiques.


Vraisemblablement, quand Emmanuel Macron était ministre de l’Économie de François Hollande, il a été victime de harcèlement sexuel. Au grand désespoir de sa femme Brigitte Macron qui se donne à cœur joie de protéger son homme. Et cela par tous les moyens.

Emmanuel Macron, victime de harcèlement sexuel


Effectivement, en février de l’an 2016, Emmanuel Macron a fait le choix de porter plainte contre une étudiante en droit de Montpellier (Hérault). Vraisemblablement, la jeune femme harcèle l’homme politique depuis septembre 2015. Pour se faire, elle lui a envoyé bon nombre de messages d’amour et de clichés pas très convenables. En effet, elle lui déclarait son amour avec des messages à caractère érotique. C’est une source judiciaire à Midi Libre qui a rapporté ces informations à cette époque.

Qui était cette harceleuse


Vraisemblablement, en décembre 2014, une jeune femme de 29 ans a eu connaissance de l’adresse personnelle de l’actuel chef d’État. Par la suite, cette vingtaine l’a partagée avec un groupe de jeunes entrepreneurs. Ainsi ces derniers peuvent envoyer à Emmanuel Macron des idées d’innovation. Mais au lieu d’idées innovantes, le ministre avait eu droit à des messages osés et des photos érotiques. Or au fil du temps, l’époux de Brigitte Macron finit par porter plainte en justice le 16 février 2016. Par conséquent, une étudiante gabonaise est placée en garde à vue après une enquête de la police de Montpellier.

À cette époque, le procureur de la République a révélé que la jeune femme était perturbée sur le plan psychiatrique. Vu que les mails et les photos indécents étaient à répétition, la justice a dû faire son travail après la plainte. En garde à vue pour « messages réitérés malveillants en vue de troubler la tranquillité d’autrui », l’étudiante est libre après une expertise psychiatrique. Pour ses gestes, elle écope « un simple rappel à l’ordre ».