Darius Rochebin avait reçu Jean-Pierre Pernaut sur LCI ce 17 septembre dernier. Une occasion rare pour le journaliste du JT de 13 h de TF1 de se livrer sur son vécu pendant le confinement. Mais aussi sa peur face au coronavirus.

Jean-Pierre Pernaut, un confinement totalement différent


Il y a quelques jours, le mari de Nathalie Marquay a fait la Une de tous les médias et sur la toile. Pour cause, le présentateur a annoncé qu’il va bientôt quitter le plateau de son journal. Alors, deux jours après cette annonce-choc, le septuagénaire était l’invité de Darius Rochebin sur LCI. Pendant laquelle, Jean-Pierre Pernaut s’est confié sur sa peur face au coronavirus. D’après ses dires, son âge avancé était la cause de cette peur incessante. Bien évidemment, il est classé parmi les personnes qui pourraient faire les formes graves du covid-19.

Mais, c’était à ce moment que Thierry Thuillier lui a proposé : « On va te mettre à l’abri chez toi, on va te mettre un studio chez toi ». Une idée géniale de Thierry qui a permis à Jean-Pierre Pernaut de rester à l’antenne même étant confinée chez lui. Le présentateur a avoué : « Oui j’ai eu peur du covid. Et le confinement a été une période de trois mois très longs chez moi où avec ma femme on a beaucoup discuté de la suite ».

« Si je l’attrape, je crève »

De son côté, Darius Rochebin a questionné Jean-Pierre Pernaut sur son anxiété concernant le coronavirus. Le journaliste a lancé : « tout le monde disait’ il avait la peur, plus que beaucoup d’autres, effectivement, vous disiez “si je l’attrape je crève’ ».

Sans attendre, le père de Lou Pernaut a affirmé : « Ah oui, il se trouve que je suis fumeur. Par contre, je n’ai pas peur de la mort. D’ailleurs, on va tous mourir un jour ou l’autre. C’est pour ça que je n’ai jamais de plan de carrière et que je ne fixe pas de date. Personne ne sait pas ce qui va se passer. Avec le covid-19, on a fait très attention alors on s’est enfermé totalement. Par contre, avec ce contact quotidien avec les téléspectateurs, j’étais devenu le journaliste encore plus proche des gens que d’habitude. Pourquoi selon vous ? Parce que je vivais la même chose qu’eux, peut-être avec un jardin, mais j’ai vécu ce confinement de l’intérieur. D’ailleurs, je n’ai pas hésité à les raconter mon vécu de tous les jours. Et c’était à ce moment-là que je comprenais que les gens en avaient ras le bol de tourner en rond chez eux ».