Ces dernières semaines, Michel Drucker est au cœur de nombreuses rumeurs. Selon quoi sa santé se serait régressée à cause du coronavirus. Ainsi, il semblerait qu’il vit une période très difficile.

Une hospitalisation en urgence


D’après la publication du magazine Le Parisien, Michel Drucker serait hospitalisé en urgence pour éviter un infarctus. De ce fait, il a été opéré du cœur. Une intervention chirurgicale dont il avait l’habitude. Car, si l’on se remémore, il a subi la même opération il y a trois ans de cela. Effectivement, pour cette fois-ci, l’intervention visait à déboucher l’une de ses artères coronaires. Le rôle de celui-ci est de vascularisé le muscle cardiaque.

Ainsi, pour mettre fin aux rumeurs que le célèbre animateur est sur une chaise éjectable, les directions de France 2 ont fait un communiqué. Selon eux, ils ne comptent pas s’en séparer de Michel Drucker. Puis, ils ont déclaré : « Heureusement, l’intervention chirurgicale de Michel s’est bien passée. Il est combatif et le moral est bon ».

Michel Drucker, un confinement très tôt


Toutefois, dès l’apparition du coronavirus sur le sol français, Michel Drucker s’est tout de suite confiné. Pour cause, ses antécédents médicaux qui font de lui une personne vulnérable face au virus. Ainsi, le mari de Dany Saval restait isolé dans sa maison dans le Sud de la France avant même que le gouvernement ait déclaré le confinement.

Pendant son interview avec le magazine people Voici, Michel Drucker s’est confié sur cet évènement. Selon lui : « J’ai eu le temps de quitter Paris lundi soir très tard, après avoir enregistré de justesse mes émissions. Je me mets en stand-by et je fais très attention, j’ai des gants, j’ai du gel, je prends ma température comme tout le monde et, en plus, je suis hypocondriaque. Je vais faire un peu d’exercice, seul évidemment ».

À cela s’ajoute l’explication de l’animateur durant son passage sur l’émission « C à vous ». D’après lui, il a su très tôt que le coronavirus n’était pas un virus comme les autres grâces à son frère épidémiologiste. Ainsi, sa femme et sa fille l’obligeaient même à porter tout le temps des gants et prenaient régulièrement sa température. Comme Michel Drucker disait : « J’ai fait très attention ».