Depuis le début de l’année, le coronavirus a basculé tous nos quotidiens. En effet, hormis un bilan lourd celui-ci a aussi engendré une grave crise économique.

Une crise économique dans tout le pays


Inévitablement, plusieurs travailleurs se sont retrouvés sans travail. D’autres ont vu leurs salaires diminués. Et effectivement, plusieurs établissements étaient dans l’obligation de mettre la clé sous la porte.

À vrai dire, la crise sanitaire a touché tous les secteurs. Pour sa part, les chaînes télévisées ont interrompu le tournage de leurs émissions. Puis, le tournage a repris, mais le public était exclu. Ainsi, c’était aussi le cas des domaines culturels et sportifs. Plusieurs compétitions sportives et des concerts ont été contraints d’être annulés.

Le fils de Michel Sardou, une autre victime de la crise sanitaire


Comme un grand nombre de personnes, le fils de Michel Sardou avait rencontré également des problèmes au sein de son couple. Apparemment, celui-ci faisait face à des problèmes d’argent comme beaucoup d’artistes d’ailleurs. Par contre, il ne pouvait pas bénéficier d’aucune aide de l’État vu qu’il n’est qu’un artiste à mi-temps. Pour faire entendre sa voix, il s’est emparé de son compte Instagram et a posté un message : « Et sinon pour les artistes (qui ne sont pas intermittents comme moi), on fait comment ? Sans tournage, sans théâtre, sans festival, sans aide et avec toujours les mêmes charges à payer ». Malgré son problème d’argent, celui-ci n’a pas voulu demander de l’aide à son père. Pour cela, il met les choses aux clairs à ce sujet. « Celui qui me dit, demande de l’argent à ton père, je lui donne une claque virtuelle », déclare-t-il sur la toile.

Michel Sardou accuse la non-responsabilité du gouvernement


Ainsi, le ministre de la Culture Franck Riester avoue : « Ce dispositif spécifique pour accompagner, le secteur des arts, de la culture, du confinement prolongé, permettra de bénéficier d’une sécurité complémentaire ».

Bouleversé par la situation auxquelles son fils fait face, Michel Sardou sort de son silence : « Le pauvre, il en bave. Il gagne très peu, il continue, il fait des lectures… ». Puis il n’hésite pas à attaquer le gouvernement d’Emmanuel Macron. À son avis, ce dernier a sa part de responsabilité dans la situation de ce genre.